Les Loups de Fenryder - Tome 1


1933, Tusitala, Louisiane. Le bal donné par la richissime famille McNeice se transforme en un effroyable massacre. Soixante-dix ans plus tard, un romancier à succès révèle qu’une terrifiante société secrète est l’auteur du carnage. En représailles, une folle terreur va déferler à nouveau sur Tusitala…

Les Loups de Fenryder... Ils donnent vie à vos pires cauchemars. Plongez dans un thriller fantastique qui hantera vos nuits !

ANALYSE

«Si la scène de la piscine municipale est devenue tout simplement cultissime pour ses lecteurs, on retiendra aussi des Loups de Fenryder toute une galerie de personnages d’une bouleversante humanité : Stanley le romancier écrasé de chagrin, le vieux toubib Norman Jarrett au cœur immense, qui voit dans le retour de la violence sa dernière chance de se racheter, Sarah Widar, la journaliste intrépide et rebelle (elle deviendra l’un des protagonistes majeurs des deux autres tomes de la trilogie), enfin le  caïd du South Bronx, 10-13, personnalité aussi énigmatique que déterminée, sans oublier, il va sans dire, la pathétique famille Baldwin victime expiatoire de la plus effroyable des fatalités…" (Haut Château Ed.)


Extrait

LA PRESSE

Elle : « Alec Covin réunit autour de son premier roman, Les Loups de Fenryder, l’aval des spécialistes, les félicitations des novices et même l’enthousiasme des plus réticents. »
Le Parisien : « Alec Covin prouve que les Anglo-Saxons n’ont pas, dans le genre fantastique, le monopole du talent. ».
Le Monde : « Alec Covin a des chances de vous scotcher au plafond ! »
20 minutes : « Les Loups de Fenryder est un thriller haletant qui promet d’être un best-seller avant l’été. »

Le Figaro littéraire : « C’est horrible et fascinant. Un cauchemar non rêvé mais vécu. Il n’est pas rare que, tournant la page, le lecteur sente sur son front ses cheveux se dresser, qu’il renonce à répondre au téléphone ou à dîner pour savoir comment se termine un chapitre, et quelle terreur nouvelle ce garnement d’Alec va concocter. Quand on pense que Les Loups de Fenryder sont le premier roman d’un jeune esthète, on ressent une jalousie qui est le meilleur compliment qu’on puisse lui adresser. On ne saurait dévoiler autre chose que ce sentiment délicieux de trouille bleue que chaque phrase de Covin intensifie. (…) Le tout mâtiné d’une pointe d’humour acide qui met les nerfs à vif, tel le trait de citron qui exalte le goût du foie de veau. La technique Covin est implacable, les personnages dessinés parfaitement, hommes, femmes, enfants (Alec marque une vraie tendresse pour ces deux dernières catégories et pour les vieillards) (…) L’écriture, elle, court la poste afin que vous ne puissiez reprendre votre souffle. (…) Ses inventions sont diaboliques. »

Notre temps : « Infernal. Sensations fortes garanties »




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