La presse

 Les Loups de Fenryder

Le Figaro littéraire :

« C’est horrible et fascinant. Un cauchemar non rêvé mais vécu. Il n’est pas rare que, tournant la page, le lecteur sente sur son front ses cheveux se dresser, qu’il renonce à répondre au téléphone ou à dîner pour savoir comment se termine un chapitre, et quelle terreur nouvelle ce garnement d’Alec va concocter. Quand on pense que Les Loups de Fenryder sont le premier roman d’un jeune esthète, on ressent une jalousie qui est le meilleur compliment qu’on puisse lui adresser. On ne saurait dévoiler autre chose que ce sentiment délicieux de trouille bleue que chaque phrase de Covin intensifie. (…) Le tout mâtiné d’une pointe d’humour acide qui met les nerfs à vif, tel le trait de citron qui exalte le goût du foie de veau. La technique Covin est implacable, les personnages dessinés parfaitement, hommes, femmes, enfants (Alec marque une vraie tendresse pour ces deux dernières catégories et pour les vieillards) (…) L’écriture, elle, court la poste afin que vous ne puissiez reprendre votre souffle. (…) Ses inventions sont diaboliques. » 


Elle : 

« Alec Covin réunit autour de son premier roman, Les Loups de Fenryder, l'aval des spécialistes, les félicitations des novices et même l'enthousiasme des plus réticents. » 


Le Parisien :

« Alec Covin prouve que les Anglo-Saxons n'ont pas, dans le genre fantastique, le monopole du talent.» 


Le Monde :  

« Alec Covin a des chances de vous scotcher au plafond ! » 

 

20 minutes : 

« Les Loups de Fenryder est un thriller haletant qui promet d’être un best-seller avant l’été. » 


notre temps :  

« Infernal. Sensations fortes garanties » 

 


 

États primitifs

 

 

« Les Loups furent une réussite, Etats primitifs est encore mieux ! »  Lire.

 

« Ce deuxième roman confirme tout le bien que l'on pensait du premier. » Le Parisien.

 

« Deuxième roman, deuxième choc. Galerie de portraits fous, regard sur l’Amérique des sectes, roman à mi-chemin entre Edgar Allan Poe et Stephen King, l’un des meilleurs récits fantastiques du moment. » Nice-Matin.

 

« Grâce à des personnages d’une densité psychologique et une puissance narrative rare, Covin fait oublier le papa de ça. Chaque scène d'États primitifs est un film d'horreur en soi. Le style développe une formidable habileté à décrire la peur. » Technikart.

 

« On est pris dans un récit sombre et haletant qui évoque rien moins que le grand Peter Straub. » L’écran fantastique

 

« Quelle imagination ! » Aujourd’hui en France

 


 

Le général Enfer

 

 

« Un polar d’une efficacité à couper le souffle. » la Provence

 

« Diablement efficace » L’écran fantastique

 

« Le dernier roman d’Alec Covin, c’est comme un coup de poing qu’on se prend en pleine figure. (…) Un vrai petit chef-d’œuvre. » l’Alsace

 

« Effroyablement crédible. » Elle

 


 

Deux et demi ou le roman du Diable

 


« Nouveau maître du mal, l'auteur nous livre ici un huis clos terrifiant où le sexe le dispute à la violence et aux forces du Mal. Frissons garantis. » Le Point.

 

« Palpitations garanties. » Gala.

 

« Ce roman est d’abord élégamment écrit, si bien que l’on prête aussi intérêt à la forme (ce qui est assez peu fréquent dans les thrillers). Ensuite l’auteur a brossé le portrait de personnages très attachants. (…) Cette histoire propose une superbe réflexion sur l’imaginaire, le travail littéraire et un récit fantastique où s'accroît, jusqu'au dénouement final, la tension. Que dire d’un livre dont les personnages et l’atmosphère vous restent ? Que nous tenons là un très bon roman tout simplement. » A nous Paris.

 

« Un vrai suspens par cet auteur couronné de succès » France Dimanche

 

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